refuge-de-l-orgeres→col-de-chaviere→chalets-de-polset→refuge-de-l-orgeres
près de Bourget, Région Rhône-Alpes (France)
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Photos de l'itinéraire
Description de l'itinéraire
A Trip exported from GARMIN Dakota 20
J’étais dehors dimanche matin bien avant 7 heures, avec une température plutôt fraîche (7°) attaquant la montée rude en lacets à travers une forêt de pins cembros, retrouvant les vertes prairies au niveau de l’alpage de l’Estiva (2'184 m) 35 minutes plus tard. Puis durant une grande heure, j’ai cheminé au pied des belles pentes sous la pointe de Tête Noire (2'673 m), des pentes qu’affectionnent bouquetins ou chamois. Mais, pas de bouquetin ! Je suis arrivé au-dessus du lac de la Partie, au confluent du vallon de l’Orgère et celui de Polset, un très joli cadre à 2'504 m dans un vaste espace.
Moins de trois heures après mon départ, j’ai débouché au col de Chavière alors que surgissait de l’autre versant un couple de randonneurs venus du refuge Péclet-Polset. Nous avons échangé quelques mots et puis ils ont entamé la descente. La pente assez raide et en neige glacée, manifestement ils ne l’ont pas aimé, prenant bien leur temps pour la franchir !
Revenu au lac de la Partie, puisque de bouquetin nenni par ici, peut-être étaient-ils passés dans le vallon de Polset ? J’ai donc attaqué la longue descente du vallon de Polset dans un cadre très sauvage. À la source du vin, j’ai fait halte. Pas question de dégustation d’un divin breuvage, le nom de la source provient assurément d’une boutade d’alpagiste au siècle dernier ou plutôt au siècle précédent. En tous cas, le nom est officiel et figure bien sur la carte IGN du secteur (OT3534 Les Trois Vallées Modane).
Après la source du vin, c’est un parcours en balcon de belle longueur à l’ombre des pins cembros pour arriver au hameau de Polset, quelques belles bâtisses en pierres avec des toits de lauzes comme il sied en Maurienne.
Les quelques randonneurs rencontrés dans ce vallon peu fréquenté bien qu’y passe un GR (GR55) ont laissé leur véhicule en contrebas du hameau, mais moi il m'a fallu contourner la montagne pour rejoindre mon point de départ et c’est par un beau raidillon et dans la chaleur bien qu’à l’ombre que j’ai retrouvé mon camion.
Christian
http://parcourir-le-monde.com
J’étais dehors dimanche matin bien avant 7 heures, avec une température plutôt fraîche (7°) attaquant la montée rude en lacets à travers une forêt de pins cembros, retrouvant les vertes prairies au niveau de l’alpage de l’Estiva (2'184 m) 35 minutes plus tard. Puis durant une grande heure, j’ai cheminé au pied des belles pentes sous la pointe de Tête Noire (2'673 m), des pentes qu’affectionnent bouquetins ou chamois. Mais, pas de bouquetin ! Je suis arrivé au-dessus du lac de la Partie, au confluent du vallon de l’Orgère et celui de Polset, un très joli cadre à 2'504 m dans un vaste espace.
Moins de trois heures après mon départ, j’ai débouché au col de Chavière alors que surgissait de l’autre versant un couple de randonneurs venus du refuge Péclet-Polset. Nous avons échangé quelques mots et puis ils ont entamé la descente. La pente assez raide et en neige glacée, manifestement ils ne l’ont pas aimé, prenant bien leur temps pour la franchir !
Revenu au lac de la Partie, puisque de bouquetin nenni par ici, peut-être étaient-ils passés dans le vallon de Polset ? J’ai donc attaqué la longue descente du vallon de Polset dans un cadre très sauvage. À la source du vin, j’ai fait halte. Pas question de dégustation d’un divin breuvage, le nom de la source provient assurément d’une boutade d’alpagiste au siècle dernier ou plutôt au siècle précédent. En tous cas, le nom est officiel et figure bien sur la carte IGN du secteur (OT3534 Les Trois Vallées Modane).
Après la source du vin, c’est un parcours en balcon de belle longueur à l’ombre des pins cembros pour arriver au hameau de Polset, quelques belles bâtisses en pierres avec des toits de lauzes comme il sied en Maurienne.
Les quelques randonneurs rencontrés dans ce vallon peu fréquenté bien qu’y passe un GR (GR55) ont laissé leur véhicule en contrebas du hameau, mais moi il m'a fallu contourner la montagne pour rejoindre mon point de départ et c’est par un beau raidillon et dans la chaleur bien qu’à l’ombre que j’ai retrouvé mon camion.
Christian
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